Conduire de nuit présente à de multiples avantages mais le risque de somnolence au volant, voire d’endormissement, augmente de manière non négligeable.
Les bons réflexes pour conduire de nuit
POUR ALLER PLUS LOIN
Pour aller plus loin, apprenez à faire une micro-sieste grâce à l’application » Des routes à vivre » pour récupérer rapidement votre énergie.
Téléchargez l’application sur votre mobile
Téléchargement sur l'app store Téléchargement sur google playVous ne parvenez pas à lire l'infographie ?
Le temps de réaction augmente avec la fatigue
- 1 seconde en état de repos
- 2 secondes après deux heures de conduite
Conduire de nuit ou de jour : il est important de s’arrêter toutes les deux heures pour faire une pause.
20 % des actifs est victimes de somnolence
- 40 % des endormissements ont eu lieu sur des grands axes routiers (4 voies, autoroutes)
- 26 % sur des routes nationales ou départementales
- 19 % sur des routes secondaires
- 15 % en ville
17 heures sans dormir correspond à des réflexes comparables à ceux d’une personne dont l’alcoolémie est de 0,5 g/l de sang
15 minutes d’atelier micro-sieste avec l’application Des routes à vivre permet de retrouver son énergie. Une sieste ne doit pas dépasser 20 minutes. Au-delà, on perd ses effets bénéfiques.
Reconnaitre la somnolence :
- Un besoin constant de changer de position,
- Le dos ou la nuque qui se raidissent,
- Les yeux qui piquent et se ferment
- Une difficulté de concentration sur la route
Conduire de nuit ou de jour
Laissez le volant à une autre personne. Cela peut être un adolescent en conduite accompagnée en état de conduire, tout comme son accompagnateur : pas de sieste ou de téléphone portable par exemple.
- L’accompagnateur doit être attentif car l’inactivité favorise la somnolence.
- Faites régulièrement le point avec l’adolescent sur son sommeil car il est fréquent qu’un déficit chronique de sommeil s’installe à cet âge. Pour cela, rdv sur l’application Des routes à vivre afin de faire le point grâce au test sur le sommeil.